Je m’appelle Hervé, j’ai 15 ans, et au collège, je suis pas franchement le mec populaire. Petit, un peu gros, et surtout, j’adore taquiner les filles – leur piquer leurs stylos, faire des blagues débiles sur leurs sacs, ou les embêter en classe. Ça les énerve à mort, genre vraiment, mais moi, ça me fait marrer. Dans ma classe, on est que quatre garçons pour douze filles, alors je suis souvent outnumbered, mais je m’en fous, c’est mon truc.
Aujourd’hui, c’est la visite médicale annuelle, et on doit tous aller à l’hôpital du coin. Les garçons passent en premier, les filles après – c’est la règle. On est dans le bus, et je fais déjà le malin, genre balancer à Clara (une blonde en short en jean) : « T’as peur des piqûres, hein ? » Elle me fusille du regard, et les autres – Léa (en jupe plissée), Manon (en legging gris), Sarah (en short rose) – soupirent en levant les yeux au ciel.
Arrivés à l’hôpital, les trois autres gars – Tom, Lucas et Max – passent avant moi. Moi, je traîne, je veux pas y aller en premier. « Vas-y, Hervé, grouille ! » dit Lucas, mais je fais semblant de lacer mes chaussures, histoire de gagner du temps. Du coup, je suis le dernier.
Quand mon tour arrive, je rentre dans le cabinet du docteur, un mec baraqué avec une blouse blanche. Une infirmière, une brune en uniforme moulant, est là aussi. « Déshabille-toi complètement, même le slip, » dit-elle, sans me regarder, en préparant des trucs sur une table. Je rougis un peu, mais bon, c’est la visite médicale, alors j’obéis. T-shirt, pantalon, chaussettes, et slip – tout finit en tas par terre. Me voilà nu, mon petit bide et mon "petit sexe rasé" (ouais, je me rase, je trouve ça plus clean) exposés sous les néons.
Le docteur commence à m’ausculter – cœur, poumons, tout le truc classique. Mais soudain, une alarme retentit dans le couloir. Il se redresse d’un coup. « Urgence ! » crie-t-il à l’infirmière. « Amenez-le à la salle d’attente tout de suite, on n’a pas le temps ! »
L’infirmière me choppe par le bras. « Pas le temps d’aller chercher tes vêtements, viens ! » Et là, sans que je puisse réagir, elle me traîne hors du cabinet, nu comme un ver, dans le couloir de l’hôpital. Mon cœur bat à cent à l’heure, je sens l’air froid sur ma peau, et mes mains cachent à peine mon "petit truc".
On arrive à la salle d’attente, et c’est l’horreur. Les filles de ma classe sont déjà là – toutes les douze, assises sur des chaises, en train de scroller leurs portables. Clara, Léa, Manon, Sarah, et les autres – en shorts, jupes, leggings, leurs jambes sexy sous mes yeux. Elles lèvent la tête en même temps, et leurs yeux s’écarquillent.
« Il est… tout nu ! » crie Léa, en jupe plissée, avant d’exploser de rire.
Manon, en legging gris, se penche en avant. « Regardez son petit sexe rasé, trop drôle ! »
Sarah, en short rose, pointe du doigt : « T’as plus rien, Hervé ! T’es fini ! »
Les autres – Julie, Amandine, Chloé, toutes – se lèvent d’un coup, mortes de rire, certaines filmant avec leurs portables. « T’as voulu nous saouler, là t’es servi ! » lance Julie, en short en jean.
Je suis planté là, nu devant elles, rouge comme une tomate, les mains devant moi mais ça cache rien. L’infirmière me lâche et repart en courant, me laissant seul face à ces douze paires d’yeux qui me dévorent.
« Alors, Hervé, » dit Clara, un sourire narquois, « c’est qui qui taquine maintenant ? »
Léa s’approche, ses jambes sous sa jupe en pleine vue. « T’as plus rien à dire, hein ? Ton petit truc tout lisse, on va le montrer à tout le monde ! »
Manon rigole : « Faut qu’on te promène comme ça, vu que t’aimes embêter les filles ! »
Je bredouille : « Euh… c’est pas ma faute, c’est une urgence… » Mais elles s’en foutent, elles sont déjà en train de former un cercle autour de moi, leurs rires résonnant dans la salle.
Je suis là, nu dans la salle d’attente de l’hôpital, planté au milieu des douze filles de ma classe – Clara, Léa, Manon, Sarah, et les autres – qui me fixent avec des sourires moqueurs. L’infirmière est partie depuis longtemps, et le docteur est toujours en urgence. Mes vêtements sont restés dans le cabinet, et moi, je suis coincé, sans rien pour me cacher. Y a plus de chaises libres, elles ont tout pris, alors je dois rester debout, mon petit bide et mon "petit sexe rasé" exposés sous leurs yeux. Ça va durer trente minutes, trente longues minutes de calvaire.
Clara, en short en jean, croise les jambes et me lance la première pique : « Alors, Hervé, t’es pas fier là, hein ? T’as moins de gueule sans tes blagues débiles ! »
Léa, en jupe plissée, ricane et sort son portable. « Regardez son petit sexe tout lisse, on dirait un bébé ! Quand les autres du collège vont voir les photos, elles vont bien rire ! » Elle clique, et je vois le flash, mes mains tremblantes devant moi cachant rien du tout.
Manon, en legging gris, se penche vers Sarah, en short rose, et chuchote assez fort pour que j’entende : « Lui qui nous saoule tout le temps, là, il fait moins le malin. T’as vu son petit truc ? On dirait une cacahuète rasée ! » Elles explosent de rire, et Sarah renchérit : « Ouais, Hervé, t’es notre nouvelle mascotte, mais version nue et pathétique ! »
Les vannes pleuvent, sans arrêt. Julie, en short en jean, se lève et tourne autour de moi comme un vautour. « T’as voulu nous taquiner, mais là, t’es cuit. T’imagines la tête de Mme Dupont, la prof de maths, si elle voyait ton petit zizi rasé ? »
Amandine, en jupe courte, ajoute : « Ou les gars, Tom et Lucas, ils vont te chambrer jusqu’à la fin de l’année ! ‘Hervé le tout nu’, ça va te suivre ! »
Chloé, en legging noir, filme avec son téléphone et commente en direct : « Eh, les filles du 3eB, regardez ça sur Snap ! Notre Hervé, tout nu devant nous, et il peut rien faire ! Son petit sexe rasé, il est famous maintenant ! »
Je reste là, debout, les bras ballants, incapable de m’asseoir ou de me cacher. Leurs jambes sexy – shorts, jupes, leggings – sont partout autour de moi, mais je peux pas en profiter, je suis trop mort de honte. Les minutes passent, et ça s’arrête pas.
« T’as pas l’air gros là, Hervé, t’es tout riquiqui ! » lance Clara, et les autres hurlent de rire.
« Faut qu’on te promène comme ça dans le collège, » dit Léa, un sourire cruel. « T’imagines, nu devant tout le monde ? T’as plus qu’à te planquer toute ta vie ! »
Sarah se lève, son short rose remontant sur ses cuisses, et s’approche. « Oh, regardez, il tremble ! T’es pas si courageux sans tes vannes, hein ? Ton petit truc rasé, il fait pitié ! »
Au bout de dix minutes, je sens mes joues chauffer, mes yeux piquent. Elles continuent, implacables. Manon : « T’as voulu nous faire chier, là, c’est toi qui pleures bientôt ! » Julie : « Quand ça va tourner sur Insta, t’es mort, Hervé ! »
Vingt minutes, et je tiens plus. Leurs rires, leurs portables qui flashent, leurs vannes qui tapent là où ça fait mal – "Hervé le gros tout nu", "Ton petit sexe rasé, même ma petite sœur rigolerait", "T’es fini au collège, mec" – ça me brise. Je sens une larme couler, puis une autre. Je me mets à pleurer, là, debout, nu devant elles, la honte qui me dévore.
Clara s’arrête une seconde, surprise. « Oh, il chiale ! Regardez, le taquin pleure maintenant ! »
Léa rigole encore plus fort. « T’as voulu jouer, Hervé, t’as perdu ! Ton petit sexe rasé pleure avec toi ! »
Les trente minutes finissent enfin quand l’infirmière revient, essoufflée. « Désolée, urgence réglée. Hervé, venez récupérer vos affaires. » Mais les filles ont déjà tout filmé, tout vu, et leurs rires résonnent encore dans ma tête alors que je suis traîné, nu et en pleurs, hors de la salle.